Les mathématiques chez Musil et Wittgenstein
de la mesure des possibilités à leur invention
pp. 9-21
Résumé
Il y a une parenté entre Musil et Wittgenstein dans le rôle central qu’ils accordent à la notion de possibilité. Cet article analyse plus précisément le lien essentiel qu’ils instaurent entre cette notion et les mathématiques : en quoi les probabilités peuvent-elles être définies comme une mesure des possibilités ? Quel est notamment le rapport entre définition fréquentiste et définition logique des probabilités ? En quel sens peut-on dire, par ailleurs, que les mathématiques sont un modèle d’invention de nouvelles possibilités ?
Détails de la publication
Publié dans:
(2011) Année 2010-2011. Philonsorbonne 5.
Pages: 9-21
DOI: 10.4000/philonsorbonne.310
Citation complète:
Fasula Pierre, 2011, Les mathématiques chez Musil et Wittgenstein: de la mesure des possibilités à leur invention. Philonsorbonne 5, Année 2010-2011, 9-21. https://doi.org/10.4000/philonsorbonne.310.