Linguistique de l’écrit

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165476

Sensibilité et conscience. Remarques sur la théorie des Triebe chez Fichte

Claudio Cesa

pp. 121-132

Résumé

Entre la publication des deux premières parties de la Grundlage et la parution du volume dans son intégralité, donc avec la 3e partie consacrée à l’Assise de la science du pratique, presque une année s’écoula. Ce délai fut fatal. Fichte lui-même se plaignit souvent du peu d’attention porté par ses contemporains à la partie pratique de son système. C’était à son avis la source de bien des malentendus, dont celui conduisant à l’accusation selon laquelle il serait hors d’état de concevoir une nature. – L’article se propose de montrer que Fichte n’avait pas tort : dans la perspective de la philosophie transcendantale telle qu’il la concevait, les fonctions présentées dans la partie pratique, le sentiment et surtout les Triebe étaient susceptibles d’expliquer la connaissance sensible, et par là de sortir de l’opposition entre monde sensible et monde intelligible.

Détails de la publication

Publié dans:

(2002) Trieb : tendance, instinct, pulsion. Revue germanique internationale - ancienne série 18.

Pages: 121-132

DOI: 10.4000/rgi.913

Citation complète:

Cesa Claudio, 2002, Sensibilité et conscience. Remarques sur la théorie des Triebe chez Fichte. Revue germanique internationale - ancienne série 18, Trieb : tendance, instinct, pulsion, 121-132. https://doi.org/10.4000/rgi.913.