Linguistique de l’écrit

Revue internationale en libre accès

Revue | Volume | Article

124477

De l’inconditionnel moral chez Kant et chez Sartre

Juliette Simont

pp. 34-51

Résumé

Du temps où les commissions du F.N.R.S. étaient des entités assignables et non des panels d’experts internationaux, rémunérés et anonymes, Daniel Giovannangeli était de ceux qui présidaient à ma destinée. Nous nous sommes donc connus par l’intermédiaire de mon dossier. Puis j’ai lu ses livres, j’ai connu le département de philosophie de l’ULg, dont l’ambiance m’enchantait — et je sais qu’il y était pour beaucoup. Un département où existait, où existe une cohésion telle que les étudiants prenaient et prennent la peine de se déplacer en nombre pour une conférence, pour une soutenance de thèse, bref pour des activités ne faisant pas partie de leur cursus obligatoire. Au fil du temps, certains de ces étudiants sont devenus non seulement des collègues, mais aussi de proches collaborateurs, comme pendant longtemps Benoît Denis, et maintenant Grégory Cormann, Florence Caeymaex.

Détails de la publication

Publié dans:

Gavray Marc-Antoine, Gély Raphaël, Richard Sébastien (2014) Don — Langage — Contretemps: Diagonales giovannangeliennes. Bulletin d'Analyse Phénoménologique 10 (11).

Pages: 34-51

Citation complète:

Simont Juliette, 2014, De l’inconditionnel moral chez Kant et chez Sartre. Bulletin d'Analyse Phénoménologique 10 (11), Don — Langage — Contretemps: Diagonales giovannangeliennes, 34-51.