La spontanéité de l’esprit est-elle un préjugé métaphysique?
pp. 163-182
Résumé
L’esprit est-il intégralement passif, comme l’empirisme a parfois tendu à le croire, ou bien y a-t-il un sens à lui prêter un caractère de « spontanéité » ? Et si nous attribuons à l’esprit un caractère de spontanéité ou de libre activité, alors avons-nous le moyen de le faire sur une base empirique — ou bien cette spontanéité n’est-elle qu’un hypothétique principe extra-phénoménal ? Mon ambition ici est seulement de poser une certaine variante de ce problème et de dresser un rapide panorama de quelques solutions qui y ont été apportées.
Détails de la publication
Publié dans:
Cormann Grégory, Leclercq Bruno (2012) Le problème de la passivité. Bulletin d'Analyse Phénoménologique 8 (1).
Pages: 163-182
Citation complète:
Seron Denis, 2012, La spontanéité de l’esprit est-elle un préjugé métaphysique? Bulletin d'Analyse Phénoménologique 8 (1), Le problème de la passivité, 163-182.