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L'encre et le buvard la théologie dans la pensée de Walter Benjamin
pp. 327-340
Résumé
Dans tous les écrits de Walter Benjamin s"affirme un scepticisme actif, fertile, à la façon de Goethe, une confiance conditionnée, une expérience incessante d"inachèvement, d"être en danger.1 Nous voyons, agissant en permanence laborieusement, un effort à ne pas se fixer indumenta dans un concept, effort qui se révèle de suite dans l"image récurrente du fragment et de la ruine, et dans la suspension de toute conception fondamentale, qui pourrait reconduire tous les fragments vers leur unité heureuse, empathique, abstraite.
Détails de la publication
Publié dans:
Fløistad Guttorm (2010) Philosophy of religion. Dordrecht, Springer.
Pages: 327-340
DOI: 10.1007/978-90-481-3527-1_15
Citation complète:
, 2010, L'encre et le buvard la théologie dans la pensée de Walter Benjamin. In G. Fløistad (ed.) Philosophy of religion (327-340). Dordrecht, Springer.