Mind-dependence, irrealism and superassertibility
pp. 143-157
Résumé
Dans la section 1, j’explique pourquoi une conception Dummet-tienne du réalisme n’a de pertinence que dans certains cas particuliers. Dans la section 2, j’indique qu’il est raisonnable de penser que Crispin Wright soutient que la vérité de certains jugements dépend de notre capacité de la connaître (si et) seulement si leur vérité consiste dans le fait qu’ils sont superassertables. Dans la section 3, je souligne qu’insister, avec Dummett et Wright, sur la connaissabilité, nous empêche de voir qu’il y a d’autres formes légitimes de réalisme. Je propose une réfutation de la thèse attribuée à Wright dans la section 2, ce qui m’amène à suggérer que c’est une erreur de penser que la question du réalisme concerne essentiellement la nature de la vérité.
Détails de la publication
Publié dans:
Pouivet Roger, Rebuschi Manuel (2008) (Anti-)Realisms. Philosophia Scientiae 12 (1).
Pages: 143-157
DOI: 10.4000/philosophiascientiae.216
Citation complète:
Laurier Daniel, 2008, Mind-dependence, irrealism and superassertibility. Philosophia Scientiae 12 (1), (Anti-)Realisms, 143-157. https://doi.org/10.4000/philosophiascientiae.216.