L'impropriété du dessin
pp. n/a
Résumé
Le dessin résisterait-il comme médium autonome, ou au contraire subsisterait-il du fait de sa résistance à la logique conceptuelle du médium ? Se tenant à l’écart d’une logique du propre et de l’essence, ce texte tente de penser les différences, la non-identité selon une dynamique de rapprochement et d’éloignement, de voisinage et d’extension. Le dessin pourrait-il échapper tant à la définition dite essentialiste du médium qu’à la propension, aujourd’hui fort répandue, à se penser comme un champ en extension ? Selon une triple boucle, selon un mouvement en spirale, le texte articule trois temps successifs de désappropriation, d’écart pris avec la pensée représentative et l’identification :
Détails de la publication
Publié dans:
Krajewski Pascal (2016) Art et médium 1. Appareil 17.
Citation complète:
Massaert Lucien, 2016, L'impropriété du dessin. Appareil 17, Art et médium 1, n/a. https://doi.org/10.4000/appareil.2315.