Sobriété, respect et pudeur
pp. n/a
Résumé
L’œuvre poétique et philosophique de Hölderlin, dans la mesure où elle est un approfondissement continu de la philosophie critique, pose la finitude radicale de l’être humain, c’est-à-dire une finitude sans échappatoire (même sur le plan pratique).Nous exposons cette loi de la finitude à partir des motifs de la sobriété et de la pudeur en tant qu’ils permettent d’envisager le respect comme souci de la finitude.
Détails de la publication
Publié dans:
(2003) Le Respect. Le Portique 11.
Citation complète:
Leyenberger Georges, 2003, Sobriété, respect et pudeur. Le Portique 11, Le Respect, n/a.