L'écriture musicale comme puissance d'oubli chez Arnold Schœnberg et John Cage
pp. 69-83
Résumé
L’article analyse l’écriture musicale d’Arnold Schœnberg et John Cage pour montrer leur puissance d’oubli. Il prend appui sur l’examen de l’écriture sérielle qui se présente comme une anti-mémoire tonale et sur le rôle dévolu au hasard qui permet de se libérer des conventions du goût et des traditions de l’art. Ainsi il est possible de mettre au jour deux formes d’oubli, la table rase et le zéro.
Détails de la publication
Publié dans:
(2010) Année 2009-2010. Philonsorbonne 4.
Pages: 69-83
DOI: 10.4000/philonsorbonne.268
Citation complète:
Troche Sarah, 2010, L'écriture musicale comme puissance d'oubli chez Arnold Schœnberg et John Cage. Philonsorbonne 4, Année 2009-2010, 69-83. https://doi.org/10.4000/philonsorbonne.268.