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Conclusion
pp. 211-215
Résumé
Le parcours philosophique que nous avons suivi pouvait paraître passablement sinueux ; ce d'autant plus qu'il était formé de deux mouvements distincts qu'il vaut la peine de rappeler. Les chapitres I à IV étaient consacrés à la voie ontologique ; d'abord la voie ontologique à l'oeuvre dans les Ideen II, puis la voie du monde de la vie, et pour terminer une voie que l'on ne trouve pas chez Husserl mais qui nous a semblé la plus pertinente pour le dévoilement des ontologies des sciences, à savoir la voie par les sciences empiriques. La catégorie de la signification a ainsi été mise en évidence comme fondement de l'ontologie de la biologie. Les chapitres V à VI ont initié un mouvement différent. Il ne s'agissait plus de passer entre les attitudes ontologique et transcendantale, mais entre les niveaux intentionnels de distanciation objectivante et d'engagement vécu.
Détails de la publication
Publié dans:
Moinat Frédéric (2012) Le vivant et sa naturalisation: le problème du naturalisme en biologie chez Husserl et le jeune Merleau-Ponty. Dordrecht, Springer.
Pages: 211-215
DOI: 10.1007/978-94-007-1814-2_9
Citation complète:
Moinat Frédéric, 2012, Conclusion. In F. Moinat Le vivant et sa naturalisation (211-215). Dordrecht, Springer.